Nouvelle Fantastique

Автор работы: Пользователь скрыл имя, 20 Мая 2013 в 14:58, сочинение

Краткое описание

Cet atelier d’écriture a été mené avec l’ensemble des élèves de la classe, pendant deux semaines, nous devions écrire une séance fantastique ou le redimensionnement d’un récit de livre sur une fiche de lecture. Il a permis le réinvestissement concret des notions abordées au cours du deuxième semestre : la structure d’un récit ; le bon usage des temps du passé (imparfait / passé simple/ futur) la richesse de la langue; les marques de temps et de lieu; le portrait et la description; le vocabulaire du fantastique. Le professeur ayant eu l’idée originale d'obliger les étudiants à respecter ces éléments vigoureux. Le lecteur indulgent pardonnera et qui sait appréciera, ce mélange étonnant, mais un très bon exercice pour l imagination et la création d’une nouvelle en français!

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Université Paris Ouest Nanterre La Défense

 

 

Fedotova Yelena

Gilles Louÿs

 

 

 

 

 

 

 

Nouvelle Fantastique

 

 

Cet atelier d’écriture a été mené  avec l’ensemble des élèves de la classe, pendant deux semaines, nous devions écrire une séance fantastique ou le redimensionnement d’un récit de livre sur une fiche de lecture. Il a permis le réinvestissement concret des notions abordées au cours du deuxième semestre : la structure d’un récit ; le bon usage des temps du passé (imparfait / passé simple/ futur) la richesse de la langue; les marques de temps et de lieu; le portrait et la description; le vocabulaire du fantastique. Le professeur ayant eu l’idée originale d'obliger les étudiants à respecter ces éléments vigoureux. Le lecteur indulgent pardonnera et qui sait  appréciera,  ce mélange étonnant, mais un très bon exercice pour l imagination et la création d’une nouvelle  en français!

Je retrouve des œuvres qualifiées de "fantastiques" dans tous les arts. le fantastique est une notion trop "floue", car certaines personnes supposent qu'une signification n'est existe pas. D’autres avancent l’argument d’œuvres  considérées comme "inclassables", tant elles flirtent avec différents genres (fantastique, merveilleux, science-fiction, etc.). En géneral littérature fantastique est une histoire plus longue et davantage de productions ou de peintures sont qualifiés sur les regards de plus près, ce n’est pas le cas. L’analyse rigoureuse du genre littéraire a permis de mettre en évidence les éléments qui "font" une œuvre  fantastique, une œuvre merveilleuse ou encore une œuvre  de science-fiction.

 

On construit le surnaturel ou la thématique du "désordre" en plongeant dans les rêves. 

L’œuvre  fantastique fait apparaître des phénomènes ou des êtres surnaturels (c’est-à-dire incompatibles avec les lois dites "naturelles" avec la raison ou avec la science) au cœur  même d’un monde connu et balisé par les connaissances scientifiques.

Le fantastique est une pensée rationnelle où  l'esprit plonge dans le futur irréel. Le fantastique permet au lecteur d’imaginer les changements ambigus.

Ainsi les sujets fantastiques, confondent les sentiments qui peuvent faire naître une crainte de malaise ou de peur secousse tandis que nous ne savons pas que nous pourrons attendre d'arrière l'esprit spirituel. Cependant nous l'avouons d'avoir pleine conscience d’imagination avec plus ou moins de bonheur.

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors je propose tout de même un classement qui se veut simple, cohérent, et qui englobe les principaux sujets fantastiques, sans pour autant être exhaustif.

La ville de mon rêve ? La ville inconnue ? La ville d’un futur irréalisable ? Une ville où tout sera différent par rapport à notre réalité actuelle. Où tout perdra sa valeur, où il y aura une formalité de voitures et de comptes, où sont entendues des lois non écrites et des interdictions du droit de l'humanité, comme si tout pour lui, mais arrivera d'autre part sang froid et l'humanité perdra le sens de la vie,  acquerra seulement la peur et la survie.        

Oui, j'appellerai ce récit «la Ville de mon rêve»

Et bien, que puis-je dire ? Que voulez –vous entendre de ma part?

La ville de mon rêve est quelque part loin très loin, par delà les champs, les bois, les mers, les montagnes et, probablement même après le ciel lui-même, où l'éternité se perd dans l'azur. Cette ville est là-bas, où seulement parfois vole un oiseau rare des rêves romantiques, irréalisables rose tendre, en se baignant dans les pétales fragiles du berceau des rêves de la nuit...

Mes idées sont elles un rêve ? Une réalité ? NON, c'est simplement le récit fantastique de mon imagination!

La ville de mon rêve … Oui, elle est absente sur la carte, et  elle n’y sera jamais portée,  mais elle est dans les idées et les rêves irréalisables de chaque personne comme une deuxième planète! Chacun rêve de murs en chocolat, d’hôtels particuliers luxueux et de chevaux en sucre battant la mesure de la musique librement céleste le long de sentiers en pâte de fruits. Mon voisin chaque jour voit dans ses propres yeux le rêve d’une montagne de sable aurifère, de pierres et de bijoux cachés dans un palais immense, entouré par une chaîne de serviteurs, une croissance immense avec une intelligence non «  chargée ». Les gens sont prêts à trancher la tête de qui convoitera leur richesse. Et, probablement, cela n’est pas l’affaire de l'or et des diamants mais  l'affaire du pouvoir, reçu grâce à tout cela. Oui, l’on peut citer beaucoup d'exemples : l'enfant veut l'ours en peluche, la femme vénale veut un nouvel appartement dans le centre de Paris où bout la vie et beaucoup de différence. La petite fille rêve d’un prince sur un cheval blanc (comme on dit dans la langue russe). Un toxicomane veut un champ de pavot et une  montagne de seringues …Il est regrettable de s’en  rendre compte, mais … la déesse cruelle de la vie de tous les esprits raisonnables qui se sont assis solidement sur le trône d’adamantin dans les profondeurs de leur conscience, la Réalité est cruelle et éloignée. Ainsi et plus loin encore on peut très longtemps raisonner sur le sujet de la ville idéale : l'économie, les relations idéales sociales, la loi idéale, son exécution idéale, les gens idéaux … En énumérant plus loin, on peut simplement devenir fou, ayant reçu à la suite des transformations très difficiles mathématiques-logiques si confinant évidemment à la folie de l'imaginaire scientifique, au titre d'une sorte "d'Utopie" privée pour les citoyens ordinaires de la ville idéale et, probablement, alors déjà du pays idéal. Et bien, si penser encore tout à fait à peine alors déjà s'apaise en "arrivant" que tu commences sentir au total que tu vis aussi dans une tout à fait non mauvaise ville. Les dignités, les manques — tout comme partout et chez tout le monde mais, à mon avis, dans cela sont le secret de vieille date de l'idéal. Mais il s'agit du mien et seulement de ma ville, et seulement de mon rêve. Donc un "oiseau" volera là-bas, où il n'y a rien de surnaturel. Dans cette ville il est bon, et méchant, petit, et grand, beau, et les monstres, tendres, et cruels, forts, et faibles, sages, et stupides … sont absents, peut-être…. Je ferai une petite exception, pour mon "Utopie", cela quelque chose du domaine de l'imaginaire, mais la bêtise et l'injustice dans ma ville seront minimisées par rapport au monde réel. De plus, il n'y aura pas encore de vide...

La Ville est idéale dans la simplicité des beaux rêves d'enfants et des clichés rongés par la beauté irréelle. La terre y est chaude, comme les sentiments amoureux,  le ciel est pur comme l'âme d’un enfant. Et quand dans la nuit nos regards se portent  sur la voûte du ciel pur, le ciel est parfois sombre et noir, les coins aigus des étoiles est vives-bleu clair et blanches brillantes prudemment piquent notre cœur entier coupant même parfois notre respiration. Le cadre de la nuit est splendide! Dans ma ville la nuit n’est pas comme partout, ici les étoiles sont magnifiques, on voit très bien la voie lactée. Le ciel noir, couvert de marques d’étoiles, regarde les idées secrètes les plus inconscientes de chacun et cela par l'œil poussé de la Lune. La nuit se trouve ici et, en aspirant à ne pas être en arrière sur l'amie la lune. Comme une course entre les deux, haletantes elles examinent l'obscurité du bois épais qui nous entoure de tous cotés. Les ondes de l'air chaud de nuit, infusés sur les herbes, se roulent sur la peau, en apportant avec elles le sacrement qui accompagne la nuit. Sous la lumière lourde d'huile de la Lune, on se pose simplement sur le tapis froissé de la fraîcheur forestière. De l'herbe souffle par le parfum des îles éloignées avec les couleurs immenses et les perroquets criards : elle porte les gouttelettes éternelles les mers, qui tombent sur le sable desséché par la chaleur torride de la personne, par les myriades des étincelles. Les yeux sont largement ouverts et il s’y reflète la nuit, la Lune et l'éternité. Le temps s'est arrêté, les secondes ont cessé de s’égrainer dans le vide. Les heures ont fondues et se sont répandues dans le temps, comme la cire d’une bougie brûlante. Le temps a cessé d’exister, tout a  fondu par la chaleur du corps. Le pouls fusionne avec la nature, il  a commencé à compter chaque seconde, chaque siècle, chaque millénaire… Loin, en respirant difficilement, la locomotive-asthmatique a sifflée et est allée là-bas où il n'y a pas de retour, en transportant dans le dernier wagon l'aube...

Et mon "oiseau" volera là-bas, en s'arrachant graduellement à la terre coupable, en dirigeant le vol vers la terre promise. Les amas de nuages noirs  de fumée et la poussière des fonderies et celle des usines et des fabriques s'éclaircit graduellement dans l'horizon gris-blanc, et dans le ciel désert scintille le soleil sale-jaune. Un léger vent dirige chez toi les flux encore sensibles de l'air. Le soleil ébloui les yeux et réchauffe chaque petit coin, encore tout à fait solitaire et impuissant devant les espaces majestueux et célestes de notre cœur. Et avec chaque coup d'ailes il se bat tout plus fortement, en se rendant compte de toute l'insignifiance de cette âme fière, dans ce monde immense, désert, froid sombre. Chaque être est solitaire, mais non il n’est pas triste pour autant…Il est libre!!! Dans le ciel il y a une liberté de vieux clichés subtils qui sont rongés par la rouille de fer, l'odeur  que l’on oublie de plus en plus, en s'arrachant à la terre. Oui l’on volera, et en baissant simplement la tête  l’on verra sous nous même les champs immenses verts, les bois, que ne peuvent pas se fermer même à l'horizon. Sur les champs mille gens travaillent. Et il n'est pas important de savoir qui ils sont en effet,  on ne voit pas par dessus!!! L’on volera ce sera un bonheur simple : juste le bonheur d’être ici et d’y reste. Plus bas l’on voit un homme méchant qui bat un jeune adolescent. Sa petite sœur est assise à coté de lui dans les épis de blé dorés par le soleil, ses larmes font briller le champ tout entier. Elle est petite, une pauvre gamine abandonnée, fière malgré tout. Mais personne ne la voit. La brute jette le fouet, la prend cruellement par la main, la tire et la traîne quelque part. Mais personne ne regarde, personne ne s’inquiète. Tous sont occupés par l'affaire très "nécessaire". Avec le temps tout s'apaise et de nouveau tout est bien, comme si rien ne s’était passé, personne ne s’en rappellera … C’est absent! L’oiseau est horrifié ici, cela l’angoisse à cause de l’atrocité et de la violence de la situation. Il dit : je m'envole. Et "l'oiseau" fait de nouveau le battement des ailes, se lève haut et volera, volera. Et toi déjà loin de la terre "des horizons gris-blancs».

Maintenant le ciel tout à fait pur, bleu clair, comme la couleur des rêves d'enfants naïfs. Sur lui il n'y a pas de nuages. Seulement de petits nuages rose tendre. Les flux du vent avec les pétales des fleurs des champs eux-mêmes saisissent et l’emporte là haut  vers le soleil. Il s’envole loin de lui-même. Il y a seulement un ciel et la lumière, une lumière chaude et tendre. Le vent respire la liberté du printemps et l'amour de la vie, l’amour de ses  proches . Selon le corps parcourt le tremblement facile, quand l’on part en toute hâte rudement dans les airs. Il semble que le ciel s'achèvera maintenant en donnant un chemin où l’on se frayera un passage on l’on pourra toucher l'éternité … Mais il ne s'achève pas. Et le cœur s'envole encore  plus haut en jouant dans le vaste espace des rayons solaires et en jouissant de la vitesse du vol, des sensations et de l'acuité des sentiments. L’on ferme les yeux et … on s’envole, on s’envole simplement … et de rien il ne faut pas, on a tout oublié,  on s’est envolé comme les idées! On est libre! Cependant l’on comprend cela, l’on diminue la vitesse et l’on saute simplement selon les nuages roses, en jouant avec les rayons lourds, et ensuite on tombe sur un des nuages, on oublie tout et … l’on embrasse le Soleil … Et ensuite on se  lève et on revole  rudement en bas avec une vitesse assourdissante. L'air résonne dans les oreilles, sur le corps courent les fourmis, et la vitesse nous grise éperdument. C’est un affolement terrible. Cela embrasse un sentiment inoubliable de ce que tout dépend seulement de nous. Cela nous «  chatouille » et exalte tous nos nerfs et nos sens. Comme une danse selon la lame du couteau et l’on tombe dans un moment d’incertitude. La terre est déjà visible, elle est de plus en plus près, et … déjà tout à fait côte à côte … ayant roulé rudement sur la ligne parallèlement de l'horizon, on vole sur le bois à une vitesse assourdissante. En bas, directement  sous nous, les chutes d'eau, avec les toxines propres, non touchées par l'eau, les rivières, les ruisseaux, les herbes, les arbres, les animaux, les gens … tous jouent au soleil, brille, fait du bruit, s'envole et se reflète très loin, dans la profondeur des cœurs ... Notre regard se porte maintenant plus loin. Les maisons … Grandes et petites, les plus pauvres ont différentes couleurs que celles des riches et sur un goût différent. Dans leurs rues les enfants  jouent, vers l’un d’entre eux un homme s’approche et il lui offre un cadeau sans aucune raison apparente. Le  garçon ne se pose pas de question comme : que veut il de moi ? Qui est- il ? Pourquoi ce cadeau ? Le gamin voit cette  personne souriant simplement, et au fond de l'âme il est clair qu'il veut partager ses prospérités. Il tend sa main, le remercie, et il est simplement heureux, il est simple parce qu'aujourd'hui c’est juste un jour de joie. Ils n'étaient pas familiers et ne se rencontreront peut-être jamais plus jamais, c’était juste deux lignes, qui se croisent seulement une fois, et ensuite se séparent pour toujours.... en laissant simplement de bons souvenirs.

 

Vue du ciel la ville semble tout à fait ordinaire semblable aux nôtres. Y a t’il moins de poussière ? Et les tubes, moins de fumées noires en apesanteur de  terrains empoisonnés, de barils de poisons avec des  inscriptions «dangereux pour la vie». Et la rue est plus propre, mais pas d’une propreté cristalline, en effet, il y aura toujours une personne qui jettera des ordures devant sa porte. Les polissons sont aussi là,  bien qu'ils soient très peu. Autrement en effet, l’on vivrait presque ennuyeusement. De plus il n'y a pas d'animaux sans foyer ni de zoos où les mammifères vivent en souffrance. Les gouvernements sont sages et honnêtes ils galopent pour sauver le monde, il n’y a pas de corruption. Une absence inexistante où les riches ne commandent pas tout, et les pauvres ne souffrent pas de manques divers et variés… Les buissons dans les cours sont soigneusement coupés, les gazons sont rasés géométriquement. Sur l'horizon s'ébroue négligemment la mer calme dans les bords à pente douce. Il tente d'échapper des chaînes étroites des rochers côtiers et de nombreuses plages, mais ils le retiennent simplement. La mer se fâche et se déchaîne, sa fureur aiguise fortement les pierres. Sur les plages et dans les ondes chaudes se baignent et se reposent les gens. Un peu plus loin, dans le bateau est assis solitairement un homme moustachu. Il attend nerveusement que quelque action se passe en scrutant nerveusement le bouchon de sa cane à pêche. Il plisse le front et se fâche contre le poisson stupide, qui ne veut aucunement se trouver au bout de son hameçon. Ensuite le moustachu part  dans sa maison avec deux carassins attrapés, là il est attendu par ses enfants et sa femme aimante. Ensuite l’homme moustachu ennuyer à force de pêcher et il va travailler à l'institution la plus proche, qui est un laboratoire de chimie. Alors que l’homme tombe sur la tête dans le laboratoire une éprouvette contenant des réactifs chimiques le blesse et alors lui « ouvre » l’esprit. Il crée alors le moteur éternel.

Je pense que l'essentiel c’est qu’il faut donner la possibilité aux gens d’obtenir un objectif, un but, et ils seront heureux.

… Dans la ville de mon rêve les gens vivent en collaboration étroite avec la nature. En effet, tout ce qui est créé dans la nature est capable de soutenir la personne, de l'inspirer, d’affermir sa santé et sa joie de vivre. Les anciens comprenaient cela, sentaient la nature et la connaissaient souvent, sur ses possibilités et les manifestations plus que nous. Il se peut que nous apprenions les lettres de son alphabet, sans pour autant savoir lire.  Mais nous apprenons quand même.

 

La ville idéale se caractérise par les gens idéaux et leurs relations. En effet, notamment les gens construisent leurs "villes", ils mettent devant eux même quelques buts, des idéaux de carton parfois... Les gens ne sont pas des dieux, il leur est naturel de se tromper, mais il leur est naturel également corriger leurs erreurs. Probablement que le secret de l'idéal est le même que le secret du vainqueur — ne jamais s'arrêter sur l'atteint, sur l’acquis ... Encore je veux construire le mur immense autour de ma ville pour le clôturer de l'autre monde. Pour que les gens vivant dans ma ville, atteignent, fassent des ouvertures, remplissent des buts mis en avant.

Bien que, probablement, la Ville comme cela n'existe pas et tout n'ait pas aucune signification...

En effet, la ville est absente en tout cas...

Tout notre futur est dans nos mains, dans notre pouvoir personnel et grâce à nos idées et nos actions l’on construit de belles villes, des villes féeriques! Pour que tous les gens comprennent la finesse de leur essence dans ce monde et alors à cet instant, le monde changera, s’améliorera ! Les guerres et les souffrances s’achèveraient, les gens aspireraient l'un à l'autre en aide grâce à la compréhension mutuelle.  

Le monde évolue. Les futures villes s'approchent vers nous, elles deviennent semblables aux structures spatiales, mais la même nouvelle génération, comme  nos ancêtres pourraient nous le reprocher,  acquière de nouvelles habitudes et de nouvelles technologies parfois au détriment de l'humanité!


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