Шпаргалка по "Иностранному языку"

Автор работы: Пользователь скрыл имя, 22 Января 2012 в 13:03, шпаргалка

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Работа содержит ответы на вопросы для экзамена по дисциплине "Иностранные языки".

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Ответы по лексикологии.doc

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1. Objet d'étude de la lexicologie. 

La lexicologie a pour objet d'étude le vocabulaire ou le lexique d'une langue. La lexicologie peut être historique et descriptive, elle peut être orientée vers une ou plusieurs langues. La lexicologie historique examine le développement du vocabulaire d'une langue des origines jusqu'à nos jours, c’est une étude diachronique. Une étude diachronique du lexique nous apprend que certains moyens de formation conservent depuis des siècles leur productivité (par exemple, la formation des substantifs abstraits à l'aide des suffixes -ation, -(e)ment, -age, -ité, -isme), d'autres ont acquis depuis peu une importance particulière (ainsi, la formation de substantifs avec les suffixes -tron, -rama, -matique), d'autres encore perdent leur ancienne productivité (telle, la formation des substantifs avec les suffixes -esse, -ice, -ie). Les phénomènes du français moderne tels que la polysémie, l'homonymie, la synonymie et autres ne peuvent être expliqués que par le développement historique du vocabulaire. La lexicologie descriptive s'intéresse au vocabulaire d'une langue dans le cadre d'une période déterminée, un tableau synchronique. Si l'approche diachronique permet d'expliquer l'état actuel du vocabulaire, l'approche synchronique aide à révéler les facteurs qui en conditionnent le mouvement progressif. Ainsi la synchronie se rattache intimement à la diachronie.

Le lien entre la lexicologie et les autres branches de la linguistique. Le système de la langue présente un ensemble d'unités hiérarchisées. En allant des unités plus simples aux plus complexes on distingue les phonèmes, les morphèmes, les mots, les propositions. Chacun de ces types d'unités constitue ce qu'on appelle un niveau de structure. Ce sont respectivement les niveaux phonologique, morphologique, lexical, syntaxique. La lexicologie étudie les unités du niveau lexical: les mots et leurs équivalents fonctionnels. La lexicologie se trouve étroitement rattachée à la morphologie et à la syntaxe. Le lien entre la lexicologie et la morphologie: la lexicologie s'intéresse à le rôle des mots dans l'enrichissement du vocabulaire, alors que la morphologie y voit des caractéristiques particulières propres aux parties du discours. La lexicologie s'unit à la phonétique (phonologie). Comme toute autre langue le français possède son propre système phonique caractérisé, par les particularités de la structure sonore des mots qui ne sont pas sans intérêt pour la lexicologie. Il importe de relever les traits spécifiques de la prononciation dialectale qui offre des déviations à la norme littéraire. Il est de même nécessaire d'avoir en vue que la prononciation des emprunts faits aux autres langues peut sensiblement s'écarter des règles de la prononciation française.La lexicologie est en contact avec la stylistique.

3. Le mot et la notion. présentent une unité dialectique. On distingue deux degrés de la connaissance. 1/ Le premier degré consiste dans la sensation, dans la formation de perceptions et de représentations à partir de la sensation. La sensation est le lien immédiat entre la réalité, et la conscience. La sensation sert de base à la perception et la représentation. Le processus de perception s'effectue quand on perçoit directement un objet par les sens. La perception est l'ensemble des sensations produites par un objet. On peut se représenter un objet sans le percevoir directement, à l'aide de la mémoire ou de l'imagination. La représentation est l'image mentale de l'objet qui n'est pas perçu directement par les sens. 2/ Le deuxième degré de la connaissance suppose la généralisation des phénomènes isolés, la formation des notions et des jugements. Par la généralisation théorique, abstraite des perceptions et des représentations, on forme des notions. La notion, fait ressortir les propriétés essentielles des objets, des phénomènes de la réalité. Si nous regardons une rivière nous la percevons ; si plus tard nous évoquons le souvenir de cette même rivière, nous nous la représentons. L'image concrète de cette rivière est, dans le premier cas, une perception, dans le deuxième — une représentation. La notion n'est plus une image mentale concrète, c'est une abstraction, une généralisation théorique. Le mot rivière sert à nommer non pas une rivière déterminée, mais n'importe quelle rivière, la « rivière », autrement dit, exprime la notion de «rivière » généralisée, abstraite. La notion peut être rendue par des moyens linguistiques différents : par des mots, des groupes de mots. La faculté d'exprimer des notions est une des caractéristiques fondamentales des mots et de leurs équivalents. Pourtant unité ne veut pas dire identité. Un mot peut être lié à plusieurs notions et, inversement, la même notion est parfois rendue par des mots différents. Les notions, peuvent être réels et irréels. Ils sont réels à condition de refléter les propriétés des objets et des phénomènes de la réalité objective. Tels sont : électricité, atome, réalité, jugement, science, mot, morphème; homme, enfant, etc. Les notions, irréels ne reflètent pas des objets et des phénomènes existants ; tels sont : panacée, phlogistique etc. Les notions irréels ne sont pas détachés de la réalité objective. Ils reflètent des fragments de la réalité combinés grâce à l'imagination. Ainsi, les deux degrés de la connaissance sont inséparables. Le lien des notions avec les représentations et les perceptions détermine la faculté du mot d'exprimer non seulement des notions, mais aussi des représentations. Le mot tableau à l'état isolé, exprime une notion ; il se rattache à une représentation, à une image concrète, déterminée pour le maître qui s'adresse en classe à un de ses élèves avec la phrase Venez au tableau ! 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

4. LA FORMATION DES LOCUTIONS PHRASÉOLOGIQUES

     Les locutions phraséologiques sont des unités lexicales qui par leur fonctionnement se rapprochent souvent des mots ce qui permet d'envisager leur création à côté de la formation des mots.

     La phraséologie étudie des structure de mots particuliers. En se combinant dans la parole, les mots forment deux types d'agencements différents. Ce sont, des groupements de mots individuels, instables ; les liens entre les composants de ces groupements se rompent après leur formation. Ces groupements de mots se forment au moment même du discours et dépendent exclusivement de l'idée que le locuteur tient à exprimer. Ce sont des groupements tels que un travail manuel, un travail intellectuel, une bonne action, une mauvaise action. D'autre part, ce sont des agencements dont les mots-composants ont perdu leur liberté d'emploi et forment une locution stable. Ces locutions expriment souvent une seule idée, et n'ont un sens que dans leur unité. Les locutions stables sont reproduites dans le discours, étant formées d'avance.

     Les locutions phraséologiques, diffèrent par le degré de leur stabilité et de leur cohésion. Ch. Bally distingue deux types essentiels de locutions phraséologiques : il nomme unités celles dont la cohésion est absolue et celles dont la cohésion n'est que relative.

     Vinogradov distingue les locutions phraséologiques suivantes : les unités indécomposables, les unités et les combinaisons phraséologiques. Les deux premiers types de locutions constituent un groupe synthétique, le dernier type représente un groupe analytique. Vinogradov porte son attention sur les particularités d’ordre structurale et grammaticale des locutions phraséologiques.

5. Les principes de classification des locutions phraséologiques.

       La locution phraséologique est un phénomène complexe qui se prête à une étude multilatérale. De là les difficultés se présentent dans la classification des locutions phraséologiques qui pourraient être groupées à partir de principes divers reflétant leurs nombreuses caractéristiques (degré de stabilitée, de fusion sémantique structure).

     1. d'après le degré de la motivation on distingue

- les locutions immotivées («avoir pas froid aux yeux — «avoir de l'énergie, du courage»),

- sémantiquement motivées (rire du bout des lèvres — «sans en avoir envie»)

- les locutions à sens littéral {livrer une bataille, se rompre le cou).

     2. D'après leurs fonctions communicatives on pourrait dégager

- les locutions à valeur intellectuelle (salle à manger, le bon sens, au bout du compté),

- à valeur logico-émotionnelle (droit comme une faucille — «tordu», ses cheveux frisent comme des chandelles — « elle a des cheveux plats»),

- à valeur affective (Flûte alors ! — qui marque le dépit.)

     3. Le fonctionnement syntaxique distinct des locutions phraséologi-ques permet de les qualifier

- d'équivalents de mots (pomme de terre, tout de suite, sans cesse),

- de groupements de mots (courir un danger, embarras de richesse),

- d'équivalents de phrases (c 'est une autre paire de manches ; qui dort dîne; qui trop embrasse mal étreint, prov.)

     Les locutions phraséologiques pourraient être classées à partir d'autres principes dont la structure grammaticale, l'appartenance à un style fonctionnel. Toutefois le principe sémantique, paraît être un des plus fructueux. Il permet de répartir les locutions phraséologiques en plusieurs groupes qui se retrouvent dans des langues différentes.  
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

     6. La clasification sémantique des phraseologismes

Selon la clasification sémantique des phraseologismes on peut distinguer 3 types essentiels :

1. les groupements synthétiques (idiomes)

2. les groupements intermédiaires

3. les groupements analytiques

1. Les idiomes sont des locutions dont le sens global ne coïncide pas avec le sens des mots-composants. Les idiomes présentent un tout indivisible dont les éléments ont perdu leur autonomie sémantique. D'après leur fonctionnement syntaxique ils sont tantôt des équivalents de mots et jouent, le rôle d'un terme de la proposition (enveloppe mortelle — «corps humain considéré comme l'enveloppe de l'âme) tantôt des équivalents d'une propositon dont les éléments conservent une certaine autonomie syntaxique (il n 'y a plus que le nid, l'oiseau s'est envolé, il n 'y a pas de roses sans épines).

     D'après le degré de leur motivation on distingue deux types d'idiomes : les locutions soudées et les ensembles phraséologiques.

     Les locutions soudées, sont les plus stables. Leur sens ne découle pas de leur structure lexicale. (avoir maille à partir avec qn, marquer un jour d'une pierre blanche, ne pas être dans son assiette.) Les locutions soudées comportent souvent des mots tombés en désuétude. Tels sont assiette —manière d'être assis », dans l'expression n 'être pas dans son assiette;

     Certaines locutions soudées contiennent des archaïsmes grammaticaux. Signalons l'absence de l'article devant le substantif dans avoir maille à partir, l'absence de la préposition dans à la queue leu leu.

     Par leur structure lexicale certaines locutions soudées correspondent à  des agencements libres; (cf. : il a del 'étoffe, ce jeune homme et j 'ai une belle étoffe pour me faire une robe).

     La plupart des soudures ont dans la langue une valeur expressive, émotionnelle. Elles sont largement utilisées comme moyen stylistique dans les œuvres littéraires.

     À rencontre des soudures le sens général et réel des ensembles phraséologiques se laisse plus ou moins révéler à travers le sens de leurs mots-composants. Telles sont les expressions : passer l'éponge qui signifie «oublier, pardonner», rire du bout des lèvres ou «sans en avoir envie».

     Le sens global des ensembles phraséologiques découle plus ou moins nettement du sens des mots-composants sans y correspondre exactement.

     Parmi les ensembles phraséologiques vient se classer un grand nombre de comparaisons imagées qui sont bien typiques de la langue française. Ce sont des expressions très usitées telles que : manger comme quatre, dormir comme une marmotte, pleurer comme une fontaine, être comme un poisson dans l'eau, être bon comme le pain. Ces expressions sont généralement très concrètes et leur sens se laisse facilement comprendre.

     Les dictons et les proverbes se laissent aussi ranger parmi les ensembles phraséologiques : il n'y a point de sots métiers ; à quelque chose malheur est bon ; la nuit porte conseil.

2. les groupements intermediaries

On trouve en français encore un type de groupements stables synthétiquaux-analytiques moins soudés que le premier type. Ces groupements de mots ne sont pas indécomposables mais ils ne sont pas conformes à la norme grammaticale du fr. Moderne ce qui permet de les envisager comme un type de locutions intermédiaires entre les unités synthétiques completement indécomposables et les unités lexicaux purement analytiques. Ce sont les périphrases verbales, adverbales, prépositives et conjonctives qui contiennent des archaïsmes grammaticaux ( rendre compte, avoir faim,  faire peur).

3. les groupements analytiques

Le fr. De nos jours qui a des tendences analytiques tres prononcées abonde en périphrase de toute sorte : verbale, nominale, adverbale, prépositive, conjontive. La major partie de ces périphrases est conforme à la syntaxe de fr. Moderne ce qui pérmer de les raporter aux locutions analytiques. Ce sont des loc. à signification fraséologiquement liés (subire en combinéson avec un grand nombre de substantif donne des locutions conformes à la syntaxe contamporain – subire un examen)) 
 
 
 
 
 
 
 

7. Les locution proverbiales portent la valeur expressive.

     Ces groupements des mots constituent en groupe àpart dans la phraséologie française le groupe de locution proverbiale. Ces loc. Different par le degré de la soudure de leur parties composantes. Pour la plupar des cas ce sont des groupement synthétiquaux-analytiques: le leux ne vaut pas la chendelle. On y voit nombre de comparesons toutes faites : écrire comme un chat, simple comme bonjour, vivre comme chat et chien. Les locution proverbiales françaises sont souvent basées sur un autre lexique que leur équivalents russes ce qui explique par les particularitées de la structure lexique et grammaticale de 2 langue par des faits hystoriques.

     Les locution proverbiales absorbent l’individualité des mots sans les priver de sens. Les mots isolés gardent dans les locution proverbiales de ce type une certaine indépendence mais ils sont strictement limités dans leur emploie, leur place est fixé. Ces locution proverbiales sont habituellement homonymes aux groupements des mots correspondants libres. Au point de vue des voies de leur formation on peut répartire les locutions proverbiales en quelques types donc d’apres les voies de leur formation :

     1. les locutions fondées sur l’emploie métaphorique d’un groupement de mot autrefois libre. Ces groupements constituent le group le plus nombreux de locutions (déchirer la main qui mourit, donner la œf  pour avoir un beuf).

     2. les locutions fondées sur l’emploie métonimique (vint têtes vint avis).

     3. les locutions fondées sur une hyperbole (faire d ‘une mouche un éléphant, ne savoir rien de rien).

     4. les pléonasmes à « e » seuls peuvent constituer  l’ intégrités sémantiques d’une locution phraséologique (une seul et meme personne, pour et contre).

     5. les locutions fondées le jeux de mots des calembours (emable comme une porte de prison). 
 
 
 
 
 
 
 
 

8. Outre la clasification sémantique basé su le degré de la fusion des composants d’une locution il existe encore la clasification structurale des groupements stsbles :

     1 type – locutions nominales (coup de main, le face à face, arme blanche).

     2 type – les locutions verbales (avoir soif, entrer en contact, juire de la lumière,).

     3 type – les locutions pronominales (tout le monde, quelque chose).

     4 type - les locutions adverbiales (tout à coup, jamais de la vie, à peut pret).

     5 type – les locutions prépositives (grace à, sous les yeux de, sur le dos de).

     6 type – les locutions conjouctives (en temps que, à mesure que).

     7 type – les locutions intérgéctives (ma fois, misère de ma vie, dès cloup). 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

9. Les antonymes

Les antonymes sont des vocables à sens opposé qui expriment des notions contraires. Les choses qui n'ont rien de commun entre ne peuvent pas être contraires, par exemple : pierre et livre, lampe et pain, Par contre, bon et mauvais, toujours et jamais, sont des antonymes car ils expriment des notions contraires. Les oppositions entre deux choses homogènes peuvent être de différente nature.

     1. Le type d'antonymes le plus répandu repose sur des opositions graduelles, qualitatives ou quantitatives. Dans ces cas on est en présence d'une valeur négative opposée à une valeur positive de même intensité, et l'inverse :long court, amour haine, froidchaud, ami ennemi

     Les contraires de ce type peuvent avoir des degrés d'intensité différents:

     minuscule <—petit «— / —► grand —> colossal

     magnifique <— beau I —> laid —* horrible

     2. Les dénominations des notions sociales, des groupes antagonistes de la société humaine, qui s'opposent l'une à l'autre pendant des siècles, peuvent être des antonymes : riche pauvre ; aristocrate plébéien ; oppresseur opprimé ; réactionnaire révolutionnaire, etc.

     3. Un grand nombre d'antonymes sont liés à des notions spatiales ; ils désignent ce qui est dirigé en sens inverse, ce qui occupe les points opposés dans l'espace :la droite la gauche, le sudle nord, l'ouest — /'est, le haut le bas.

     4.  On considère comme antonymes les vocables qui expriment des notions excluant l'une l'autre qui ne peuvent exister simultanément, ces antonymes sont appelés complémentaires. Tels sont :présence absence,

guerrepaix, mouvement immobilité.

L'antonymie partielle.

Tout comme les synonymes, les antonymes peuvent être partiels. Les mots polysémiques peuvent avoir des antonymes dans chacune de leurs acceptions. Ainsi le mot bouillant signifie: 1. «ce qui bout» ; 2. «actif, ardent, emporté».

Les morphèmes antonymiques. Généralement les antonymes ont des racines différentes. Mais il y en a qui sont formés à l'aide de préfixes et de suffixes qui communiquent au mot dérivé un sens contraire à celui de la racine. Ce sont, par exemple, les préfixes - (et ses variantes : dés-, dis-) ; in- (et ses variantes : im-, ir-, il-) et autres : responsable irresponsable, plaisir – déplaisir,  réel irréel. Comme règle, la dérivation formative ne change rien à l'antonymie des racines : beau beauté / 

12. Les voies d’enrichissement du lexique français.

      La langue se modifie, se perfectionne en fonction du développement de la société à laquelle elle appartient

      Les principales sources de l'enrichissement du vocabulaire sont :

- l'évolution sémantique des vocables (mots et locutions),

- la formation de vocables nouveaux,

- les emprunts.

      Les deux premieres voies sont les resourses intérnes

d’enrichissement du lexique, la troisième voie c’est la resourse externe.

      Le vocabulaire peut se renouveler à l’aide de la modification ou moultiplication des acceptions des mots (batiment ne signifie pas l’action de batir comme autrefois, mais ce que l’on bati, maison ou navre).

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