Шпаргалка по "Иностранному языку"

Автор работы: Пользователь скрыл имя, 22 Января 2012 в 13:03, шпаргалка

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Работа содержит ответы на вопросы для экзамена по дисциплине "Иностранные языки".

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Ответы по лексикологии.doc

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Parmi les suffixes formant des substantifs désignant l'action les plus productifs sont -ation, -(e)ment, -age. Une des premières places revient au suffixe -ation avec ses variantes -ition, -tion, -ion. Ce suffixe, et surtout ses variantes -ation, et -isation, est très répandu et productif dans le français contemporain. Étymologiquement les substantifs avec ce suffixe sont des emprunts au latin ou des dérivés de verbes. Outre l'action les dérivés avec ce suffixe peuvent exprimer l'instrument de l'action : procuration; l'objet ou le résultat de l'action '.fondation; le lieu où l'action s'effectue : habitation.

Les dérivés avec ce suffixe peuvent exprimer un processus : evaporation, cicatrisation, habituation. Il peuvent rendre aussi un état : hésitation, humiliation, humanisation.

Le suffixe -(e)ment. Les substantifs avec ce suffixe sont presque exclusivement des dérivés de verbes, avec lesquels ils se trouvent en corrélation : applaudissement <applaudir.

Les dérivés avec le suffixe -(e)ment peuvent exprimer un processus: bourgeonnement,; un état : découragement.

Le suffixe –age. La majorité des substantifs avec -age sont dérivés de verbes avec lesquels ils sont en corrélaton : labourage < labourer.

Parmi les dérivés avec le suffixe -age qui expriment l'action on peut isoler un groupe désignant « la manière de parler »: bavardage,chuchotage.

Les dérivés avec le suffixe -age ont tendance à exprimer des actions plus particulières, que les verbes correspondants.

Outre ces suffixes qui sont parmi les plus productifs il y en a d'autres. Tels sont les suffixes :

      -erie (formé par la contraction de -ier et -ie),: agacerie, criaillerie;

      -erie: chaudronnerie, chapellerie, ganterie, boulangerie, crémerie;

      -ance (-ence): surveillance, obéissance, délivrance, vengeance;

      -ée: tombée, montée, traversée, rentrée, arrivée, tournée ;

      -ade: débandade, reculade, promenade, ruade.

Un autre groupe de dérivés avec ce suffixe exprime des actions représentant « une façon de tirer, de faire feu » ; mousquetade, canonnade, fusillade, arquebusade et dont un troisième groupe de dérivés exprime des actions avec une nuance de sens péjorative : turlupinade, fanfaronnade, bravade, bourrade.

Les suffixes servant à former des substantifs concrets.

Les suffixes des substantifs à sens concret constituent un autre groupe considérable.

Un de ces suffixes les plus productifs de notre époque est -iste la productivité des suffixes -eur (-euse) et -ateur, -teur (-atrice, -trice) n'a pas été altérée au cours des siècles ; parmi les suffixes bien productifs sont lessuffixe -ier, -tier (-ière, -tière) : conférencier, vacancier, grutier,; -logue: radiologue, cosmétologue, océanologue. Parmi les suffixes particulièrement productifs de ce groupe nommons -ateur (-teur, -eur) et -euse qui forment des substantifs désignant des machines, des appareils de toute sorte : excavateur, épurateur, aspirateur, interrupteur, répondeur (téléphonique), baladeuse. Signalons encore les suffixes de création récente -on et -tron formant des substantifs désignant, le premier, des particules élémentaires : neutron, positon, le second, des appareils : betatron, magnetron, cyclotron. Ajoutons encore –thèque :discothèque, ludothèque, médiathèque, vidéothèque.

La suffixation des adverbes.

La dérivation des adverbes s'effectue à l'aide de l'unique suffixe -ment. Dans le français moderne les adverbes avec ce suffixe sont en corrélation avec des adjectifs dont ils sont formés : heureusement < «— heureuse. Les formations avec ce suffixe peuvent exprimer : la manière; le degré d'intensité de la manifestation d'un phénomène; un rapport de temps

La suffixation des verbes. La suffixation est moins typique des verbes que des substantifs et des adjectifs. Le suffixe -is-, qui est parmi les plus productifs: légaliser < <— légal, «rendre légal». Les formations avec ce suffixe sont en corrélation avec des substantifs ou des adjectifs. Les suffixes -ass-, -aill-, -ot-, s'ajoutant à des verbes, communiquent à leurs dérivés une nuance défavorable : rêvasser ; écrivailler, rimailler, politicailler. Les suffixes -ot-, -ill-, -onn-, s'appliquant aussi aux verbes, leur communiquent un sens diminutif : toussoter, buvoter, trembloter, siffloter. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

4. LA FORMATION DES LOCUTIONS PHRASÉOLOGIQUES

     Les locutions phraséologiques sont des unités lexicales qui par leur fonctionnement se rapprochent souvent des mots ce qui permet d'envisager leur création à côté de la formation des mots.

     La phraséologie étudie des structure de mots particuliers. En se combinant dans la parole, les mots forment deux types d'agencements différents. Ce sont, des groupements de mots individuels, instables ; les liens entre les composants de ces groupements se rompent après leur formation. Ces groupements de mots se forment au moment même du discours et dépendent exclusivement de l'idée que le locuteur tient à exprimer. Ce sont des groupements tels que un travail manuel, un travail intellectuel, une bonne action, une mauvaise action. D'autre part, ce sont des agencements dont les mots-composants ont perdu leur liberté d'emploi et forment une locution stable. Ces locutions expriment souvent une seule idée, et n'ont un sens que dans leur unité. Les locutions stables sont reproduites dans le discours, étant formées d'avance.

     Les locutions phraséologiques, diffèrent par le degré de leur stabilité et de leur cohésion. Ch. Bally distingue deux types essentiels de locutions phraséologiques : il nomme unités celles dont la cohésion est absolue et celles dont la cohésion n'est que relative.

     Vinogradov distingue les locutions phraséologiques suivantes : les unités indécomposables, les unités et les combinaisons phraséologiques. Les deux premiers types de locutions constituent un groupe synthétique, le dernier type représente un groupe analytique. Vinogradov porte son attention sur les particularités d’ordre structurale et grammaticale des locutions phraséologiques. 
 

5. Les principes de classification des locutions phraséologiques.

       La locution phraséologique est un phénomène complexe qui se prête à une étude multilatérale. De là les difficultés se présentent dans la classification des locutions phraséologiques qui pourraient être groupées à partir de principes divers reflétant leurs nombreuses caractéristiques (degré de stabilitée, de fusion sémantique structure).

     1. d'après le degré de la motivation on distingue

- les locutions immotivées («avoir pas froid aux yeux — «avoir de l'énergie, du courage»),

- sémantiquement motivées (rire du bout des lèvres — «sans en avoir envie»)

- les locutions à sens littéral {livrer une bataille, se rompre le cou).

     2. D'après leurs fonctions communicatives on pourrait dégager

- les locutions à valeur intellectuelle (salle à manger, le bon sens, au bout du compté),

- à valeur logico-émotionnelle (droit comme une faucille — «tordu», ses cheveux frisent comme des chandelles — « elle a des cheveux plats»),

- à valeur affective (Flûte alors ! — qui marque le dépit.)

     3. Le fonctionnement syntaxique distinct des locutions phraséologi-ques permet de les qualifier

- d'équivalents de mots (pomme de terre, tout de suite, sans cesse),

- de groupements de mots (courir un danger, embarras de richesse),

- d'équivalents de phrases (c 'est une autre paire de manches ; qui dort dîne; qui trop embrasse mal étreint, prov.)

     Les locutions phraséologiques pourraient être classées à partir d'autres principes dont la structure grammaticale, l'appartenance à  un style fonctionnel. Toutefois le principe sémantique, paraît être un des plus fructueux. Il permet de répartir les locutions phraséologiques en plusieurs groupes qui se retrouvent dans des langues différentes.  
 
 
 
 
 
 
 
 
 

     6. La clasification sémantique des phraseologismes

Selon la clasification sémantique des phraseologismes on peut distinguer 3 types essentiels :

1. les groupements synthétiques (idiomes)

2. les groupements intermédiaires

3. les groupements analytiques

1. Les idiomes sont des locutions dont le sens global ne coïncide pas avec le sens des mots-composants. Les idiomes présentent un tout indivisible dont les éléments ont perdu leur autonomie sémantique. D'après leur fonctionnement syntaxique ils sont tantôt des équivalents de mots et jouent, le rôle d'un terme de la proposition (enveloppe mortelle — «corps humain considéré comme l'enveloppe de l'âme) tantôt des équivalents d'une propositon dont les éléments conservent une certaine autonomie syntaxique (il n 'y a plus que le nid, l'oiseau s'est envolé, il n 'y a pas de roses sans épines).

     D'après le degré de leur motivation on distingue deux types d'idiomes : les locutions soudées et les ensembles phraséologiques.

     Les locutions soudées, sont les plus stables. Leur sens ne découle pas de leur structure lexicale. (avoir maille à partir avec qn, marquer un jour d'une pierre blanche, ne pas être dans son assiette.) Les locutions soudées comportent souvent des mots tombés en désuétude. Tels sont assiette —manière d'être assis », dans l'expression n 'être pas dans son assiette;

     Certaines locutions soudées contiennent des archaïsmes grammaticaux. Signalons l'absence de l'article devant le substantif dans avoir maille à partir, l'absence de la préposition dans à la queue leu leu.

     Par leur structure lexicale certaines locutions soudées correspondent à des agencements libres; (cf. : il a del 'étoffe, ce jeune homme et j 'ai une belle étoffe pour me faire une robe).

     La plupart des soudures ont dans la langue une valeur expressive, émotionnelle. Elles sont largement utilisées comme moyen stylistique dans les œuvres littéraires.

     À rencontre des soudures le sens général et réel des ensembles phraséologiques se laisse plus ou moins révéler à travers le sens de leurs mots-composants. Telles sont les expressions : passer l'éponge qui signifie «oublier, pardonner», rire du bout des lèvres ou «sans en avoir envie».

     Le sens global des ensembles phraséologiques découle plus ou moins nettement du sens des mots-composants sans y correspondre exactement.

     Parmi les ensembles phraséologiques vient se classer un grand nombre de comparaisons imagées qui sont bien typiques de la langue française. Ce sont des expressions très usitées telles que : manger comme quatre, dormir comme une marmotte, pleurer comme une fontaine, être comme un poisson dans l'eau, être bon comme le pain. Ces expressions sont généralement très concrètes et leur sens se laisse facilement comprendre.

     Les dictons et les proverbes se laissent aussi ranger parmi les ensembles phraséologiques : il n'y a point de sots métiers ; à quelque chose malheur est bon ; la nuit porte conseil.

2. les groupements intermediaries

On trouve en français encore un type de groupements stables synthétiquaux-analytiques moins soudés que le premier type. Ces groupements de mots ne sont pas indécomposables mais ils ne sont pas conformes à la norme grammaticale du fr. Moderne ce qui permet de les envisager comme un type de locutions intermédiaires entre les unités synthétiques completement indécomposables et les unités lexicaux purement analytiques. Ce sont les périphrases verbales, adverbales, prépositives et conjonctives qui contiennent des archaïsmes grammaticaux ( rendre compte, avoir faim,  faire peur).

3. les groupements analytiques

Le fr. De nos jours qui a des tendences analytiques tres prononcées abonde en périphrase de toute sorte : verbale, nominale, adverbale, prépositive, conjontive. La major partie de ces périphrases est conforme à la syntaxe de fr. Moderne ce qui pérmer de les raporter aux locutions analytiques. Ce sont des loc. à signification fraséologiquement liés (subire en combinéson avec un grand nombre de substantif donne des locutions conformes à la syntaxe contamporain – subire un examen)) 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

7. Les locution proverbiales portent la valeur expressive.

     Ces groupements des mots constituent en groupe àpart dans la phraséologie française le groupe de locution proverbiale. Ces loc. Different par le degré de la soudure de leur parties composantes. Pour la plupar des cas ce sont des groupement synthétiquaux-analytiques: le leux ne vaut pas la chendelle. On y voit nombre de comparesons toutes faites : écrire comme un chat, simple comme bonjour, vivre comme chat et chien. Les locution proverbiales françaises sont souvent basées sur un autre lexique que leur équivalents russes ce qui explique par les particularitées de la structure lexique et grammaticale de 2 langue par des faits hystoriques.

     Les locution proverbiales absorbent l’individualité des mots sans les priver de sens. Les mots isolés gardent dans les locution proverbiales de ce type une certaine indépendence mais ils sont strictement limités dans leur emploie, leur place est fixé. Ces locution proverbiales sont habituellement homonymes aux groupements des mots correspondants libres. Au point de vue des voies de leur formation on peut répartire les locutions proverbiales en quelques types donc d’apres les voies de leur formation :

     1. les locutions fondées sur l’emploie métaphorique d’un groupement de mot autrefois libre. Ces groupements constituent le group le plus nombreux de locutions (déchirer la main qui mourit, donner la œf  pour avoir un beuf).

     2. les locutions fondées sur l’emploie métonimique (vint têtes vint avis).

     3. les locutions fondées sur une hyperbole (faire d ‘une mouche un éléphant, ne savoir rien de rien).

     4. les pléonasmes à « e » seuls peuvent constituer  l’ intégrités sémantiques d’une locution phraséologique (une seul et meme personne, pour et contre).

     5. les locutions fondées le jeux de mots des calembours (emable comme une porte de prison).

8. Outre la clasification sémantique basé su le degré de la fusion des composants d’une locution il existe encore la clasification structurale des groupements stsbles :

     1 type – locutions nominales (coup de main, le face à face, arme blanche).

     2 type – les locutions verbales (avoir soif, entrer en contact, juire de la lumière,).

     3 type – les locutions pronominales (tout le monde, quelque chose).

     4 type - les locutions adverbiales (tout à coup, jamais de la vie, à peut pret).

     5 type – les locutions prépositives (grace à, sous les yeux de, sur le dos de).

     6 type – les locutions conjouctives (en temps que, à mesure que).

     7 type – les locutions intérgéctives (ma fois, misère de ma vie, dès cloup).

12. Les voies d’enrichissement du lexique français.

      La langue se modifie, se perfectionne en fonction du développement de la société à laquelle elle appartient

      Les principales sources de l'enrichissement du vocabulaire sont :

- l'évolution sémantique des vocables (mots et locutions),

- la formation de vocables nouveaux,

- les emprunts.

      Les deux premieres voies sont les resourses intérnes

d’enrichissement du lexique, la troisième voie c’est la resourse externe.

      Le vocabulaire peut se renouveler à l’aide de la modification ou moultiplication des acceptions des mots (batiment ne signifie pas l’action de batir comme autrefois, mais ce que l’on bati, maison ou navre).

      Les transformation à l’intérieur de la société ont pour résultat la creation de vocables nouveaux à l’aide de moyen fournis par la langue meme. Ce sont les formations nouvelles tells que: normalization, kilotonne, aéroport. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

15. La restriction, l'extension et le déplacement du sens.

     Du point de vue logico-psychologique l'évolution sémantique présente quelques types différents. Ce sont la restriction et l'extension du sens, la métonymie, la métaphore, le glissement de sens qui sont les procès sémantiques fondamentaux éventuellement accompagnés de modifications affectives amenant à l'amélioration ou la péjoration, à l'affaiblissement ou l'intensification du sens des mots.

     Nous assistons à la restriction ou à l'extension du sens d'un mot lorsqu'il y a respectivement spécialisation ou généralisation de la notion exprimée. En faisant appel aux composants sémantiques on pourrait représenter la restriction de sens par la figure suivante : A —> A b où A est la notion de genre, b — l'indice notionnel différentiel, la flèche symbolisant le transfert sémantique. Concrétisons ce modèle par l'exemple du verbe pondre qui à partir du sens primitif de «déposer» (A) a reçu le sens de «déposer (A) des œufs (b)» en parlant des oiseaux et des reptiles.

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